mercredi, mai 30, 2018
Paris : (encore) 100 000 euros de montres volés chez Chopard
Décidément, la marque de luxe semble attiser toutes les convoitises : après une série de braquages, ce sont cette fois quatre montres qui se sont évaporées.
Chopard, c'est tout autant un grand nom de l'horlogerie que de la joaillerie. C'est la maison de luxe qui signe chaque année la célèbre palme d'or du Festival de Cannes et s'est lancée en pionnière dans l'aventure de l'or et des pierres précieuses, éco-respectueuses.
Mais c'est aussi celle qui, hélas, attire le plus les voleurs sur Paris. En décembre dernier, à deux pas de l'Élysée, un malfaiteur « présentant bien » et « n'éveillant pas l'attention », selon une source policière, s'était fait remettre le contenu de quatre vitrines. Huit personnes ont par ailleurs été mises en examen début juillet et écrouées dans le cadre de l'enquête sur des braquages de magasins de luxe Chanel et Chopard, en mai et décembre, dans des quartiers huppés de Paris. Certains ont été mis en examen pour vol à main armée et d'autres pour recel. Mais lors des perquisitions, les enquêteurs n'ont pas retrouvé la trace des butins.
Cette fois, ce sont quatre montres d'une valeur estimée à 100 000 euros qui se sont littéralement évaporées au siège social français de la marque. Elles pourraient avoir été dérobées le mois dernier alors que ces bureaux étaient en travaux. En attente de livraison rue du Faubourg-Saint-Honoré, dans le 8e arrondissement de Paris, elles étaient destinées à différents clients. La plus onéreuse, selon Le Parisien : une montre féminine en or rose serti de diamants.
Entre agressions et vols de sacs, les riches touristes visitant Paris restent la cible préférée des voleurs dans les quartiers chics de la capitale.
Faut-il, comme dans certains pays dits à risque, conseiller aux touristes d'éviter d'arborer une montre ou un bijou un tant soit peu onéreux dans les rues de Paris, même dans les quartiers les plus chics ? En tout cas, la semaine dernière, la capitale n'a pas amélioré sa réputation auprès des (très) riches visiteurs des Émirats : en deux jours, deux visiteurs de renom se sont vu dérober montre et bijoux en pleine rue.
Jeudi dernier, c'est la « Reine » des Émirats arabes unis, Ahlam Ali Al Shamsi, alias Ahlam, l'une des chanteuses pop les plus célèbres du Moyen-Orient (et l'une des plus riches également), qui s'est tout simplement fait voler son sac à main. Assise à la terrasse de Chez Francis, une brasserie de luxe avec vue sur la tour Eiffel dans le 16e arrondissement, la chanteuse avait posé son sac sur une chaise. Une imprudence qui, en sus du sac, lui aura fait perdre un rubis « de grande valeur » et une montre Rolex sertie d'une valeur d'environ 100 000 euros.
La veille, jeudi 1er septembre, c'est un conseiller militaire du Qatar séjournant au Plaza Athénée qui s'était fait agresser avenue George-V. Alors qu'il revenait vers minuit d'un restaurant du quartier des Champs-Élysées, deux jeunes hommes lui ont arraché sa montre Richard Mille, d'une valeur d'au moins 100 000 euros, avant de s'enfuir. Deux nouveaux vols qui viennent s'ajouter à la longue liste des agressions de touristes aisés à Paris, cinq montres de luxe ayant ainsi été dérobées durant le mois de juillet.
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150 000 euros de montres volés à Paris chez l'acteur Tomer Sisley
Après Kim Kardashian, au tour de Largo Winch ! Le domicile parisien de l'acteur français a été cambriolé en son absence cette semaine.
Est-ce le fait d'avoir incarné à l'écran le très séduisant milliardaire de bande dessinée Largo Winch qui a attiré l'attention des cambrioleurs ? L'acteur Tomer Sisley vient d'ouvrir un restaurant dans le 11e arrondissement à Paris, le Hardy, non loin du Bataclan, et revient à l'affiche l'an prochain dans l'adaptation du roman policier Le Serpent aux mille coupures. Il s'est fait cambrioler en son absence, à son domicile parisien, entre le 1er et le 3 novembre. Les voleurs sont loin d'être repartis les mains vides puisque le comédien aurait déclaré le vol de sept ou huit montres, pour une valeur de 150 000 euros, auquel s'ajoute le vol de plusieurs milliers d'euros en liquides.
Il faut ire que Tomer Sisley, au-delà de son rôle de milliardaire à l'écran, aux côtés de Sharon Stone, est connu pour être un amateur de belles montres. Au point d'être devenu l'ambassadeur de certaines ! Ainsi, en 2012, il a été choisi pour porter l'image de la collection Pulsion de la manufacture suisse Roger Dubuis et, en 2013, à l'occasion du SIHH (Salon international de la haute horlogerie), il était présent sur le stand de la marque aux côtés d'un autre ambassadeur de la maison, le très musculeux Gerard Butler, alors encore auréolé de la gloire du film 300.
C'est au cours de la soirée de lancement du modèle La Monégasque à Monaco le 21 octobre 2011 que Tomer Sisley a découvert Roger Dubuis : « J'ai aimé son univers, ses valeurs et cette manière qu'a la marque de lancer avec élégance un pavé dans la mare de la haute horlogerie. Cette facette de Roger Dubuis correspond bien à ma personnalité », avait-il alors expliqué. Lors de sa visite de la manufacture en janvier 2012, l'alchimie horlogère avait de nouveau opéré : « J'ai été impressionné de voir cette perpétuelle recherche de perfection. Des pièces avec des rayures microscopiques sont rejetées. La moindre pièce a autant d'importance qu'un bijou ! En portant une montre comme la Pulsion, on porte l'expression du génie d'un ou plusieurs hommes, des heures de travail et la magie des matériaux. »
Mais, l'année suivante, lors du Festival de Cannes, c'est avec une magnifique montre Montblanc Nicolas Rieussec Rising Hours qu'il se fait remarquer sur les tapis rouges. « Souviens-toi que le Temps est un joueur avide qui gagne sans tricher, à tout coup ! C'est la loi », écrivait jadis Baudelaire. Pour Tomer Sisley, de nouveaux garde-temps s'imposent désormais.
voir plus replique de rolex et Replique Rolex DateJustUn chronographe titane hippique et chic pour Hermès
Ni tout à fait pareille ni tout à fait différente, la montre Arceau de Hermès se réinvente en jouant la carte du technique et du chic.
Pièce culte par excellence de la célèbre maison de luxe française, la montre Arceau est née du crayon d'Henri d'Origny, en 1978. À l'origine de son succès ? Des courbes singulières, un boîtier rond orné d'attaches asymétriques, à la forme empruntée aux étriers, mis en valeur par une typographie subtilement inclinée. D'évolution en variation, le bijou horloger est aujourd'hui présenté dans une version renouvelée, mais fidèle à son esprit d'origine.
Dotée d'une complication chronographe et d'un boîtier en titane microbillé de 41 mm, cette déclinaison plus sportive séduit par sa légèreté. Comme soufflés par le vent à vive allure, les chiffres s'agrippent aux index à billes rouges et blancs du cadran. Ce garde-temps pensé pour équiper les cavaliers d'aujourd'hui revendique sa robustesse et se dote de trois compteurs et d'un quantième.
Pour le bracelet, les puristes opteront pour un cuir marron gold dont les surpiqûres blanches rappellent le savoir-faire sellier de la maison de la rue du Faubourg-Saint-Honoré. Plus originale, la lanière en veau Barenia noir embossé réussit l'amalgame du technique et du chic.
Enfin le retour d'un made in France horloger ? Une marque 100 % indépendante vient de dévoiler la seule montre conçue, fabriquée et assemblée en France.
Lornet et sa LA-01 ne manquent ni d'atouts... ni d'ambition. La nouvelle-née de l'horlogerie française annonce la couleur : « la seule et unique marque conçue, fabriquée et assemblée en France ». Rien que ça ?
La dernière fois qu'une marque a pu s'aligner sur les trois créneaux simultanément, c'était il y a tout juste 40 ans, en 1977 : Lip. Depuis, beaucoup de marques horlogères françaises ont proposé effectivement une conception et/ou un assemblage français. Mais le mouvement était irrémédiablement suisse en tout ou partie – voire chinois. La raison : la France ne produisait tout simplement plus de mouvement horloger complet. Jusqu'à aujourd'hui.
Lornet dévoile donc sa LA-01, pour « Lornet Automatique, premier modèle ». Au total, son mouvement est constitué de 158 composants, tous conçus et assemblés en France, en région bisontine. Et aussi fabriqués en France, l'éternel talon d'Achille du véritable made in France ? « Oui », répond sans sourciller Anthony Simao, horloger fondateur de la marque. « Tout est fait ici, en grande partie chez Créatech, à Besançon. Seuls trois composants, échappement, inverseur et barillet, sont de source suisse, tout simplement parce que plus personne n'en réalise ici. Pour tout le reste, de la montre jusqu'à la charnière de l'écrin, en passant par le bracelet, les verres, les aiguilles, c'est du 100 % français. Tous nos partenaires sont publics, nous ne cachons rien. » La LA-01 est de forme tonneau, un vocabulaire esthétique peu couru en horlogerie, à l'exception de Richard Mille, qui en a fait l'une de ses signatures. Pourtant, la LA-01 ne s'en inspire nullement. Elle s'offre le bon goût d'une totale originalité, avec une boîte tendue, nerveuse, un balancier à midi surélevé, pour beaucoup l'œuvre de Mikael Bourgeois, designer bisontin et également associé de Lornet. Tout sauf un débutant : l'homme a déjà posé sa griffe sur plus de 450 modèles pour un nombre incalculable de marques et signe ici un coup de maître. La pièce est équilibrée, audacieuse, originale... et d'une incroyable légèreté.
« C'est en partie grâce au mouvement en aluminium », précise Anthony Simao. « Léger, il offre en plus la particularité d'être particulièrement facile à anodiser, ce qui nous permettra à terme de très belles déclinaisons de mouvements en couleur, voire sertis. » De quoi engager une LA-02 pour femme ? « C'est l'idée », sourit Anthony Simao, « mais pas seulement. Le mouvement, aujourd'hui à trois aiguilles, est conçu comme modulaire et pourra donc se voir compléter de toutes les grandes complications, du chrono à la phase de Lune, en passant par la réserve de marche ou le second fuseau. Notre feuille de développement nous projette aisément sur les cinq prochains modèles. »
Lornet est une marque 100 % indépendante et autofinancée qui, on l'espère, saura séduire les quelque 100 heureux élus de la première série. Ses ambitions devront nécessairement être portées par un certain succès commercial. Au terme de la seule soirée de lancement, près de 20 modèles étaient déjà vendus, et tous seront livrés avant Noël. Pourtant, la LA-01 s'affiche à 5 400 euros, un prix qui peut sembler logique pour une pièce 100 % originale, conçue, fabriquée et assemblée en France. Mais un prix qui place aussi la jeune marque 100 % française, au-delà du coup de cœur, en concurrence directe avec les plus grands noms de l'horlogerie mondiale... Dans l'immédiat, la vente se fera par le site de la marque puis, très rapidement, via des points de vente locaux, puis nationaux.
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Richard Mille : « Pour moi, McLaren est la marque ultime »
Des bolides, des montres... Le créateur de la marque horlogère qui porte son nom se confie sur McLaren, ses ateliers et ses passions partagées.
Oui, Richard Mille rime avec automobile. D'ailleurs, il est également pilote et collectionneur émérite, confiait-il lui-même lors de la présentation de sa pièce dédiée à McLaren Automotive, la RM 11-03 McLaren, au Salon de l'automobile de Genève : « Je suis un vrai passionné d'automobile. La gamme Richard Mille se rapproche finalement un peu de celle des constructeurs automobiles. Nous sommes une marque généraliste avec des modèles pour chacun. Nous avons nos berlines, nos SUV, nos supercars… L'an dernier, nous avons produit 4 000 montres. Cette année, nous avons prévu une production de 4 600 montres avec un prix moyen de 180 000 euros hors taxes, pour une demande de plus de 10 000 pièces par an. » Ne pas être en mesure de répondre à la demande, « c'est un problème génial ! Mais on ne cherchera pas à le faire, même si la demande pour les modèles féminins n'a jamais été aussi forte. Notre production est définie d'année en année sur une hausse de 15 %. Nous équilibrerons un maximum la production. Nous ralentissons les ouvertures de boutiques pour éviter les vitrines vides, faute de montres disponibles. Nous allons également ouvrir une deuxième unité juste à côté de l'actuelle (Pro Art) pour produire 6 000 à 7 000 montres par an dans quelques années. » Fidélité et qualité obligent, la marque développera toujours une partie de ses mouvements avec Vaucher et Renaud Papi.
Au-delà de la forme olympique de la marque, collaborer avec McLaren Automotive semblait tomber sous le sens. Question de culture... « C'est un deal amical qui est devenu professionnel », explique Richard Mille dans les coulisses du stand McLaren, à Genève. Il était temps de lancer notre collection avec eux. Je suis un fou de technique et nous avons beaucoup de matériaux en commun (carbone, titane, etc.). Nous aimons les performances extrêmes, les belles lignes. Chez eux comme chez nous, tout est fait pour obtenir la meilleure efficacité possible, en termes de style, de mécanique… »
Et il faut reconnaître que produire une édition limitée de 500 pièces n'est pas une mince affaire pour Richard Mille... Une série d'importance, surtout pour une maison ne produisant et ne vendant que 4 000 pièces environ par an... Pourquoi McLaren ? La réponse fuse : « Pour moi, cette collaboration était évidente. Sincèrement, en matière de voitures et de moteurs, ce sont les meilleurs. Leur dernière Ultimate Series est la plus légère jamais construite, seulement 1 200 kilos. Chez McLaren, tout est tourné vers la performance. Richard Mille est également orienté vers la recherche de la performance plus que par la seule réserve de marche… Nous avions commencé à collaborer avec McLaren en Formule 1. C'était logique de continuer avec Automotive. Ce que j'aime aussi chez eux, c'est leur humilité à l'égard de l'horlogerie. Ils ont compris toute la complexité qu'il peut y avoir dans le développement d'une montre, la difficulté des contraintes de si petits composants. » Lire notre article « 500 montres RM 11-03 McLaren pour 500 bolides »
Pour Richard Mille, qui possède le premier bolide piloté par Bruce McLaren en personne, la dernière McLaren Ultimate Series constitue « un accomplissement. Elle est brillante, elle représente la quintessence de l'autoracing. » La nouvelle RM 11-03 McLaren s'inspire de leur univers. Nous avons eu la chance d'être littéralement adoptés par Mike Flewitt, d'avoir accès aux dessins, de travailler longtemps en amont pour développer ce modèle, confie Richard Mille. Bouton poussoir, couronne… Le design est très inspiré par les voitures actuelles, les prises d'air, les ailes, les jantes... » Une édition limitée automobile qui ne change rien à la stratégie d'image toujours appliquée par Richard Mille : les partenaires portent la montre dans leur sport. « Grâce à cela, nous sommes devenus, en moins de vingt ans, la marque horlogère avec la plus grande expertise en termes de technique et d'innovation, mais aussi la plus expérimentée. Nous n'avons pas peur d'aller au front ! La première fois que Rafael Nadal a porté sa montre sur le court à Roland-Garros, je n'avais qu'une hantise, celle de voir la montre voler ! Avec tous les risques que nous avons pris, cela paie ! » Et à quand une Richard Mille dans l'espace, vers Mars ou au poignet d'Elon Musk ? « Pourquoi pas ? répond Richard Mille, avec les yeux qui pétillent. Je suis fasciné par l'espace. J'ai d'ailleurs développé des montres pour des spationautes russes et français, comme Jean-Loup Chrétien, quand j'étais chez Matra. J'adorerais ! »
Avec ses montres de luxe abordables et hautement créatives, The Electricianz fait de l'électricité et de l'art urbain des sources d'inspiration.
Avec son premier modèle inspiré de l'art contemporain et des cultures urbaines underground, The Electricianz compte bien trouver sa place à la croisée de l'univers traditionnellement conservateur de l'horlogerie de luxe et de la tendance néo-vintage qui fait fureur chez les fabricants de montres de mode.
Installée à Bienne, la jeune maison suisse mise sur un design particulièrement original et des prix attractifs. L'allure est sportive, le format généreux (45 mm de diamètre) et les matières qui composent le boîtier (acier recouvert de Nylon ou de bronze) jouent la carte de l'ultra-contemporain. En guise de marque de fabrique, The Electricianz met à nu le mécanisme interne de la montre alimentée par l'électricité. Pourquoi ? « Pour rendre hommage au monde mécanique qui se cache sous les surfaces digitales de notre quotidien connecté », explique Laurent Rufenacht, le fondateur de la griffe, qui avait fait du design horloger son premier métier. Le garde-temps, qui bat au rythme d'un mouvement Pile Renata 1225 créée par la maison à partir du Miyota 2033, existe en trois versions. La plus marquante s'appelle Ammeter et file la métaphore électrique. Le rouge, le noir et le jaune qui habillent la montre évoquent les fresques de graffiti qui envahissent les souterrains, tandis que les vis et les marques apparentes évoquent la caisse à outils des électriciens. Audacieux et réussi ! Un bémol, cela dit : sous leurs airs de grandes sportives, les montres n'affichent qu'une faible résistance à l'eau (3 atm). C'est bien connu, l'eau et l'électricité n'ont jamais fait bon ménage...
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La nostalgie en poche
Quand le spécialiste de la montre mono-aiguille s'attaque à la montre de poche, cela donne un modèle atemporel, mi-rétro, mi-tendance.
Une aiguille, une main, une poche... MeisterSinger revisite la montre de poche en l'associant à son propre concept de lecture simplifiée de l'heure. Résultat : une montre de poche à l'ancienne, délicieusement rétro, pour convaincre tous les nostalgiques des gilets et des chaînes de montre. Très classique avec son unique aiguille bleue qui fait tout son charme, associée à un index de 24 heures sur un cadran blanc ou ivoire. Être à l'heure à 5 minutes près, en ces temps connectés, n'est-ce pas au fond une certaine forme de dandysme horloger ? S'ajoute à cela le plaisir retrouvé de regarder l'heure différemment, en sortant sa montre de sa poche avant de la dévoiler aux regards, posée dans la paume de la main. Qualité oblige, au-delà de son côté rétro-chic, cette Pocket Watch signée MeisterSinger est équipée d'un mouvement automatique suisse de montre de poche (Unitas 6498-1), proposant une réserve de marche de 44 heures. Un cadeau horloger à réserver d'urgence pour les fêtes vu son originalité et son prix sage : 1 250 euros, chaîne en acier inoxydable incluse.
Décollage imminent… Tentez de remporter le modèle BR 01-92 Airspeed de la collection Aviation de Bell & Ross ! Pour tenter votre chance, il vous suffit de suivre les étapes ci-dessous :
Suivez le compte Facebook du Point Montres et de Bell & Ross. Aimez et commentez la publication ci-dessous. Vous avez jusqu'au 5 mars.
Les designers Bell & Ross ont emprunté à l'anémomètre, ou airspeed, son graphisme, créant ainsi un affichage horaire original et extrêmement lisible. Pour faire la part belle à la lisibilité et à l'instar de l'instrument d'origine, les graduations heures, minutes et secondes sont dissociées pour mettre en avant les minutes sur le grand diamètre, tandis que les heures s'affichent au centre. Les trois couleurs présentes sur l'outil d'origine pour indiquer des valeurs plus ou moins critiques – le vert, le blanc et le jaune – sont présentes également sur le cadran de la montre et indiquent les zones par quart d'heure.
Saint Honoré, qui avait créé il y a deux ans une montre fabriquée à l'aide de l'authentique acier de la tour Eiffel, édite un second modèle en série limitée.
Un peu de fierté nationale ne nuit jamais ! Saint-Honoré revient en 2017 avec une nouvelle édition limitée à seulement 64 exemplaires de sa pièce hommage à la Dame de fer, la tour Eiffel. Après les 1 800 exemplaires présentés l'année dernière, et déjà écoulés aux deux tiers, ce nouveau modèle reprend la lunette en véritable acier de la tour Eiffel.
Cette création inspirée de la Dame de fer affiche à 6 h 30 une roue des secondes mobile, en écho direct aux gigantesques roues qui tractent les ascenseurs dans le pilier sud du célèbre monument. Dans la réalité, la tour possède deux roues bien distinctes, la première jaune, la seconde rouge, mais c'est cette dernière qui a inspiré Saint Honoré pour décorer son cadran.
L'architecture générale de la pièce ne change pas. Outre la lunette réalisée en véritable acier de la tour Eiffel et ses célèbres croix qui en font la structure, on retrouve ici un diamètre de 42 mm ainsi qu'un guichet de date avec pointeur à trois heures. La couronne reprend quant à elle le motif de la lunette. Le tout est porté par une boîte acier et un bracelet cuir maron façon crocodile.
En tous points, cette nouvelle pièce se montre cohérente, aussi bien avec le monument qu'avec le modèle précédent. Qu'une maison française se soit emparée du sujet est également un bon point, même si d'innombrables modèles en reprennent le motif qui, lui, est du domaine public. On se souvient toutefois que la marque suisse Cvstos avait également réalisé un modèle suivant le même principe de lunette acier mais de forme tonneau et suivant un prix d'environ 15 000 euros. Saint Honoré, elle, se positionne à 2 990 euros, avec un mouvement Sellita SW 360-1.
La marque a acquis au total plusieurs centaines de kilos d'acier qui lui permettront régulièrement de créer de nouveaux modèles hommage, au rythme maximal de 600 pièces par an, selon un accord passé avec la Société d'exploitation de la tour Eiffel (Sete), qui signe également le certificat d'authenticité. Mais, au fait, pourquoi 64 exemplaires cette fois-ci ? Ce chiffre symbolique a en fait été dicté par les 32 rayons de deux roues. Des séries non limitées seront probablement présentées ultérieurement.
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La nouvelle révolution française de l'horlogerie
La plus grande (r)évolution horlogère depuis 1675 ? C'est à un Français, Guy Sémon, et à son équipe qu'on la doit avec la Zenith Defy Lab. Décryptage.
Avec sa nouvelle Defy Lab, dotée d'un oscillateur révolutionnaire, Zenith vient littéralement de bouleverser la façon de concevoir un mouvement horloger. D'autant plus que des révolutions, et même des évolutions, le monde de l'horlogerie n'en vit pas vraiment tous les jours. En dévoilant la nouvelle Defy Lab signée Zenith, tout simplement la montre mécanique la plus précise jamais réalisée, les équipes de R&D de la division montres de LVMH, dirigées par l'imposant petit génie bisontin Guy Sémon, font entrer la conception de mouvements horlogers de plain-pied dans le XXIe siècle.
Cette première mondiale a été dévoilée au Locle, en Suisse, au siège de l'horloger Zenith, le 14 septembre, devant 220 journalistes venus du monde entier. Signe que le sujet dépassait les frontières d'une seule marque horlogère, fût-elle célèbre ou séculaire, cette « keynote » horlogère animée par Aurel Bacs, le plus célèbre des commissaires-priseurs horlogers dans le monde, s'est faite en présence non seulement de Jean-Claude Biver, à la tête de la division montres de LVMH, et de Julien Tornare, nouveau jeune CEO de Zenith, mais aussi de Ricardo Guadalupe, à la tête de de Hublot, et bien sûr de Guy Sémon, également directeur général de TAG Heuer
Il faut dire que le changement est d'importance : pour la première fois depuis trois siècles, on a osé remettre en question l'un des fondements mêmes du fonctionnement, de la régularité et de la précision d'une montre ou d'une horloge : ici, la conception d'un oscillateur ne repose plus sur les théories imaginées au XVIIe siècle par Christian Huygens, mais sur les derniers progrès de la science et de la micro-industrie.
C'est en 1675, il y a plus de trois siècles, que l'astronome, mathématicien et physicien néerlandais a démontré le principe de la régulation du temps au moyen du balancier spiral, une base que l'on retrouve encore dans toutes les montres mécaniques actuelles. « On a inventé un nouvel oscillateur, un nouveau régulateur, s'est exclamé Jean-Claude Biver. Au bout de 42 ans de carrière, heureusement que je n'ai pas pris ma retraite ; je n'aurais pas vu cela : zéro friction, sans huile, insensible au magnétisme, à la chaleur, au froid, et avec la plus haute précision jamais faite, une seconde pour 24 heures, même après 60 heures de réserve de marche ! »
Ce régulateur révolutionnaire, développé en interne par les jeunes « aigles » réunis autour de Guy Sémon, ne comprend que deux éléments en silicium formant un ensemble monolithique. Il est insensible aux champs magnétiques et aux variations de température à des degrés bien supérieurs aux normes en vigueur. Avec son nouveau calibre ZO 342 de la Defy Lab, l'équipe de R&D de la division montres LVMH a entièrement changé d'angle pour approcher la conception d'un mouvement : désormais, même une montre mécanique peut être conçue en faisant appel à la souplesse des micro-matériaux, aux équations, recherches et méthodes de production de la micro-ingénierie.
Avec la Defy Lab, Zenith introduit un mouvement complètement renouvelé baptisé ZO 342. Sur ce calibre de 32,8 mm de diamètre et 8,13 mm d'épaisseur, l'Oscillateur Zenith de seulement 0,5 mm d'épaisseur est visible sous le cadran. Il est en fait constitué de deux composants en silicium monocristallin, sans liaisons mécaniques, et remplace à lui seul 31 composants habituels. Il bat à une fréquence incroyable de 15 hertz avec une amplitude de +/- 6 degrés et 55 heures de réserve de marche, soit 10 % de plus que celle du mouvement El Primero, star de la maison, malgré une fréquence multipliée par trois. L'absence de couplages élimine les contacts, les frictions, les usures, les déformations, la lubrification, les assemblages et les dispersions. Quant à la roue en silicium remplaçant la roue d'échappement, elle a une forme particulière et son cycle ne correspond pas au fonctionnement classique d'un échappement à ancre suisse.
Côté précision, la Defy Lab surclasse littéralement tous les standards horlogers connus à ce jour. « Dans l'histoire de l'horlogerie, on n'a jamais vu, dans aucun concours de chronométrie, une montre mécanique de série atteindre un tel niveau de précision », explique-t-on chez Zenith. En production de série, l'isochronisme est de +/- 0,5 seconde de 0 à 48 heures. Par comparaison, les meilleurs systèmes conventionnels de série enregistrent une variation de l'ordre de +/- 2 secondes en seulement 24 heures. Au-delà, la précision chute – c'est un phénomène physique. La précision d'un balancier spiral dépend de l'amplitude, ce qui n'est pas le cas avec l'Oscillateur Zenith.
La Defy Lab est une montre au poinçon « tête de vipère » certifiée chronomètre par l'Observatoire de Besançon, au nom du Bureau international des poids et mesures. L'Oscillateur Zenith est en passe d'être certifié non magnétique et conforme à des critères élevés concernant les variations de température. La montre répond également aux critères concernant le magnétisme de la norme ISO-764. Elle fait même environ 18 fois mieux (montre complète), ce qui signifie qu'elle résiste à 88 00 ampères par mètre ou 1 100 gauss. Et il n'est pas nécessaire d'avoir recours à un boîtier intérieur pour y parvenir.
Le boîtier de cette Zenith du futur, pour l'instant produite à dix exemplaires achetés par des collectionneurs, mais destinée à la production de masse, est en aeronith, un matériau ultraléger faisant penser à de l'argent martelé. Avec une densité de seulement 1,6 kg/dm3, ce composite d'aluminium est 2,7 fois plus léger que le titane, 1,7 fois plus léger que l'aluminium pur, et même 10 % plus léger que la fibre de carbone.
Quel avenir pour cette innovation horlogère de premier plan ? D'abord, équiper les pièces signées Zenith, puis celles de ses demi-sœurs horlogères, TAG Heuer et Hublot. Mais « nous avons déjà dans nos labos, notre institut, des machines pour produire 300 oscillateurs en 3 heures », explique Jean-Claude Biver. Un concurrent n'est pas un ennemi. Nous voulons à terme que 80-90 % de ce que nous produisons soit vendu à nos amis, et pas seulement pour nous-mêmes. Ce serait égoïste. »
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Rafael Nadal : une seconde peau à 777 000 euros
Le gaucher mythique fait son grand retour en finale à l'Open d'Australie, avec toujours au poignet une montre Richard Mille qui donne le tournis.
À peine 21 grammes à porter au poignet sans même s'en rendre compte, une résistance à 5 000 G, le tout pour 777 000 euros : l'équation de la « RM » conçue par Richard Mille pour Rafael Nadal donne le tournis. En 2015, l'annonce de la première version de ce modèle n'avait plus grand-chose de secret : le duo travaillait depuis plusieurs mois sur un nouveau modèle de montre extrême. Le garde-temps trôna finalement au poignet du Majorquin tout au long de son parcours sur la terre battue de Roland-Garros, puis au cours des tournois qui ont suivi dans la saison. En 2016, Rafael Nadal arborait donc au poignet une RM 27-02 dans sa version la plus améliorée. Ce modèle est la cinquième génération de garde-temps ultraléger pensé pour « Rafa », et comme le souligne Richard Mille, « chaque gramme a été une bataille ». Cette RM 27-02 est environ de 2 grammes plus lourde que sa version précédente. Qui s'en rendrait compte, en fait ? « Nous avons en effet décidé de mettre sur celle-ci un fond un petit peu plus lourd. Mais nous nous sommes rendu compte qu'il offre une meilleure résistance, notamment à la transpiration », expliquait Richard Mille, fondateur et dirigeant de la marque du même nom, l'an passé, avant le tournoi de la Porte d'Auteuil.
Comme l'on peut s'en douter, ces 2 grammes additionnels sont totalement imperceptibles. « C'est comme une seconde peau », souligne Rafael Nadal. Cet épiderme additionnel a été testé jusqu'à une résistance de 5 000 G, digne d'un périple spatial, alors que le tout premier modèle résistait à 600 G « seulement ». Sincèrement, un tel niveau de résistance était-il vraiment nécessaire ? « Non, pas vraiment », sourit le champion. Et Richard Mille d'ajouter : « Ce n'est pas tant le nombre de G qui nous intéresse, mais la progression que nous faisons d'un modèle à l'autre. Je me souviens de l'angoisse liée au tout premier modèle que Rafa portait en match. J'étais terrorisé à l'idée que le verre vole en éclats, que le bracelet se détache, et que la montre atterrisse au beau milieu du court, sous les caméras du monde entier. Heureusement, rien de tout ça ne s'est passé, même si Rafa a cassé un certain nombre de modèles, ce qui nous a également permis de les améliorer. » Avec cinq modèles réalisés en cinq ans, les progrès effectués par la jeune marque d'horlogerie extrême sont effectivement impressionnants. Le tout premier modèle, la RM 027, possédait un boîtier en composite de carbone noir. Le modèle suivant, la RM 035, affichait un mouvement en titane squeletté. La troisième version, la RM 27-01, était la première à résister aux fameux 5 000 G, grâce à un mouvement tourbillon suspendu à l'aide de quatre micro-câbles tressés de 0,35 mm. Enfin, la dernière version, la RM 35-01, était équipée d'un mouvement en carbone NTPT, un alliage totalement inédit que l'on retrouve sur le modèle actuel. Comme il en est désormais d'usage pour les pièces Richard Mille, la question s'est une nouvelle fois posée quant au prix exorbitant de la RM 27-02 : 777 000 euros TTC. Le propriétaire de la marque, rodé à l'exercice, ne s'en est pas ému : « Je crois pouvoir dire sans fausse modestie qu'en moins de dix ans, nous sommes devenus la marque horlogère la plus avancée au point de vue technologique. Nous n'avons pas peur d'aller sur le champ de bataille. Nous investissons des sommes considérables en recherche et développement, avons des taux de rejet qui peuvent atteindre 70 %, le tout pour des pièces que nous produisons en séries très limitées. Donc, oui, au final, nos pièces sont chères. Mais n'importe qui comprenant ces contraintes, associées au degré de finition de chaque pièce, en comprend également leur prix. »
Melissa Arnot, ambassadrice des montres Alpina, est la première Américaine à réussir l'ascension de l'Everest sans oxygène. Et avec une montre connectée au poignet.
Le 23 mai dernier, après des années d'efforts, Melissa Arnot a finalement atteint son objectif : poser le pied sur le toit du monde. Défi réussi : elle a réussi l'ascension de l'Everest sans assistance d'oxygène. « Je n'ai jamais imaginé que j'allais pouvoir réussir un jour, alors que j'avais déjà échoué six fois, a-t-elle commenté. Escalader l'Everest sans oxygène supplémentaire est un rêve que j'avais depuis longtemps. Arriver à atteindre son but fait réfléchir aux jours difficiles, au travail et aux leçons apprises. J'ai réellement beaucoup de chance d'avoir réussi cette expérience. » Fière du défi lancé par son ambassadrice, la manufacture horlogère suisse Alpina l'avait équipée d'une montre connectée pour cette expédition. « J'ai utilisé l'Horological Smartwatch comme un outil de sécurité dans les montagnes. Connaître mes données m'a aidé à mieux comprendre ce dont j'avais besoin pour m'améliorer », explique la championne.
Alpiniste américaine et ambassadrice d'Alpina, Melissa Arnot consacre sa vie à l'exploration des plus belles montagnes du monde. Avec ses 8 848 mètres de hauteur, le mont Everest est la montagne la plus haute du monde. Moins de 200 alpinistes sur 4 000 ayant escaladé l'Everest l'ont fait sans bouteille d'oxygène. Au-dessus des 7 924 mètres, altitude connue comme la « zone de la mort », l'être humain ne peut plus s'acclimater à l'altitude. Afin de marcher à cette hauteur, la majorité des alpinistes ont besoin d'utiliser des réservoirs d'oxygène pour maintenir la circulation du sang, garder une température suffisamment chaude et conserver leurs capacités mentales et physiques.
Melissa Arnot y est presque arrivée en 2013. Elle et son partenaire, Tshering Dorje Sherpa, ont été jusqu'à 8 503 mètres, lorsqu'ils rencontrèrent dans leur ascension un sherpa inconscient. Ils sont restés une heure pour lui faire reprendre connaissance. Au moment de poursuivre la montée, Melissa avait trop froid pour continuer prudemment sans oxygène supplémentaire. Elle a également voyagé au Népal pour tenter une ascension en 2015. Mais la saison d'alpinisme s'est terminée plus tôt, en raison du terrible tremblement de terre du 25 avril.
En 1988, Lydia Bradley, originaire de Nouvelle-Zélande, était devenue la première femme à avoir escaladé l'Everest sans assistance d'oxygène supplémentaire. Depuis, d'autres femmes ont accompli cet exploit. Melissa Arnot, considérée comme la meilleure alpiniste américaine de haute altitude, vient d'ajouter son nom à cette très courte liste, ce qui fait d'elle la septième femme ayant escaladé l'Everest sans oxygène supplémentaire. Le prochain challenge de Melissa Arnot ? Escalader les plus hauts sommets de 50 États des États-Unis en 50 jours, cet été, du 30 juin au 20 août 2016.
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Chanel : un second pour la Première
La première montre de Chanel fête ses 30 ans en accueillant le deuxième mouvement intégralement développé en interne par la maison.
Une Première pour son premier calibre féminin. Chanel dévoile son deuxième mouvement manufacture, le Calibre 2, intégralement conçu en interne et habillé d'un design exclusivement dédié aux femmes. Pour accueillir ce second calibre in-house, la griffe de luxe a choisi l'un de ses looks iconiques en optant pour son modèle Première. Un classique atemporel de la montre de mode qui s'inspire de la forme du bouchon d'un flacon de N°5, lui-même inspiré de la place Vendôme vue du ciel.
Si le succès de la Première semble évident aujourd'hui, il l'était beaucoup moins il y a 30 ans. Quand Jacques Helleu l'a dessinée, Chanel s'apprêtait à faire ses premiers pas dans l'univers horloger. La Première est venue bousculer en 1987 les codes et les idées préconçues pour devenir un succès mondain et planétaire. En effet, il fallait oser lancer ainsi une montre à quartz signée Chanel, une montre de luxe de mode au cadran simple, sans date ni aiguille des secondes.
Alors que les Première originelles étaient une ode à l'épure, cette dernière version a l'audace de dévoiler l'intégralité de son calibre en forme de camélia, fleur préférée de Mademoiselle Chanel. En trois dimensions, ce mouvement squelette révèle à travers le cadran des ponts étagés dessinant des pétales qui s'ouvrent sur les rouages de la marche du temps. Marqué du poinçon du lion, signe astrologique de la créatrice de la marque, ce calibre unique en son genre épouse méticuleusement la forme octogonale du boîtier emblématique de la collection Première.
Ce Calibre 2 est à remontage manuel, ce qui signifie qu'aucune masse oscillante ne vient perturber l'harmonie visuelle de la montre. Par ailleurs, il ne possède qu'un seul barillet, offrant ainsi une réserve de marche de 48 heures, idéale pour s'évader un week-end sans que son garde-temps perde la mesure du temps.
Si vous n'êtes pas convaincu du caractère exceptionnel de cette Chanel Première Squelette Camélia, il est utile d'insister sur le fait que cette montre a remporté le prix de la montre dame au Grand Prix d'horlogerie de Genève et que son mouvement est complètement nouveau. En effet, alors qu'elle est arrivée à peine un an après le Calibre 1 qui équipe la montre Monsieur, les seuls composants que ce mouvement possède en commun sont trois éléments de l'échappement : l'ancre, la roue d'échappement et le double plateau.
Ce garde-temps séduira les femmes à travers trois versions. Une première sertie de 246 diamants taille brillant, dont les pierres ne mesurent qu'entre 0,5 et 0,7 mm de diamètre, une seconde pavée pour un total de 22,7 carats et enfin, une troisième plus discrète avec une joaillerie sobre. Cette dernière présente une platine aux bords anglés revêtue d'ADLC (Amorphous Diamond-Like Carbon) et de rhodium pour offrir un décor noir profond.
Existe en version sertie de diamants sur le boîtier, le mouvement et les aiguilles, ou encore en version entièrement pavée, avec la lunette, la couronne et le bracelet sertis de diamants taille baguette totalisant 22,7 carats.
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Cartier fête les cent ans de sa Tank mythique
Les montres cultes ne vieillissent jamais. Pour fêter son centenaire, le célèbre horloger a dévoilé six nouvelles versions de sa Tank Louis Cartier.
C'était il y a pile un siècle, en 1917 : Louis Cartier, petit-fils du fondateur de la maison du même nom, s'inspire des chars de combat Renault pour créer la Tank L. C. Une montre non pas ronde, mais rectangulaire, qui ne tardera pas à devenir l'un des symboles de la maison. Elle sera adoptée, au fil de ses déclinaisons, par les plus grands : Rudolph Valentino dans les années 20, puis tous les grands noms d'Hollywood : Clark Gable, Cary Grant, Gary Cooper, Warren Beatty… Mais aussi Mohamed Ali, Andy Warhol et Yves Saint-Laurent. Sans oublier Alain Delon qui, sur le tournage d'Un flic en 1972, constate que sa montre préférée, une Tank Arrondie, était aussi celle de son metteur en scène favori, Jean-Pierre Melville...
Pour célébrer les cent ans de la montre créée par Louis Cartier, les modèles anniversaires ne manquent pas : après une Tank cintrée au cadran squelette, six versions, deux tailles différentes, pour homme (33,7 mm x 25,5 mm x 6,6 mm) comme pour femme (29,5 mm x 22 mm x 6,8 mm), des modèles sertis ou non, en or blanc et rose. On retrouve la ligne indémodable de la Tank avec, à l'intérieur, un mouvement maison, le calibre 8971 MC. Le cabochon est fidèle au rendez-vous sur la couronne, associé à des aiguilles bleuies et à des index romains. À chacun la sienne, à partir de 10 000 euros environ.
Tu l'aimes, ma moustache ? Et ma montre, tu l'aimes ? Pour soutenir la Movember Foundation, Oris organise deux soirées à Paris et crée une édition Movember.
Jean Rochefort n'avait certainement pas besoin de ça pour en arborer une… Tous les mois de novembre depuis 2003, les hommes du monde entier sont invités à se laisser pousser la moustache et à collecter des fonds afin de financer plus de 1 200 projets à travers le monde. La Movember Foundation s'attaque à certains des plus graves problèmes de santé masculine, comme le cancer de la prostate, le cancer des testicules, la santé mentale et la prévention du suicide. Sa mission principale : aider les hommes à vivre plus heureux, plus sainement, plus longuement, et à les empêcher de mourir trop jeunes.
C'est dans la droite ligne de sa campagne « Change for the better » (« Changer pour le mieux ») que la maison horlogère indépendante suisse réputée pour ses montres sportives et racées à prix sage est devenue partenaire officiel de la Movember Foundation.
Afin de collecter des fonds tout au long du mois de « Movember », Oris organise toute une série d'événements dans plusieurs villes européennes. À Paris, deux soirées – une pour l'ouverture de la collecte et une pour sa clôture – seront organisées chez Gentlemen 1919, l'un des barbiers les plus cosy et dandy de la capitale. Bien plus qu'être un barber-shop ordinaire, ce salon de style années 30 recèle de nombreuses surprises, comme un bar à cocktail ou un fumoir à l'esprit « speakeasy ».
Un lieu dédié à la gent masculine où découvrir la nouvelle Oris Movember Edition, inspirée de la Divers Sixty-Five, en étant sûr de ne pas se barber… Une tombola caritative avec en lots phares deux montres Movember est également organisée tout au long du mois de novembre.
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Rendez-vous galants pour la Mostra de Venise
Amour, romance ou séduction ? À l'occasion de la 74e Mostra de Venise, Jaeger-LeCoultre dévoile trois éditions limitées de ses montres Rendez-Vous.
À l'occasion du 74e Festival international du film de la Biennale de Venise, la manufacture Jaeger-LeCoultre, partenaire de la Mostra depuis plus de 12 ans, a dévoilé une série artistique exclusive de montres Rendez-Vous. Ces trois Rendez-Vous Sonatina, chacune éditée en série limitée à huit exemplaires, expriment trois étapes du sentiment amoureux : la romance, la séduction et l'amour.
Pour ces trois séries limitées, la manufacture a fait appel à tous ses savoir-faire les plus emblématiques, offrant aux horlogers et aux artisans des métiers rares la liberté de déployer tout leur art. Cette Rendez-Vous Sonatina Large en or rose est dotée de complications dédiées aux grandes rêveuses. Une étoile, réglable par la couronne à 2 heures, indique le prochain rendez-vous par un délicat tintement. Un rappel de l'heure du rendez-vous complété par une autre complication : l'indication jour/nuit. Logés à six heures dans une ouverture qui reprend la forme des fleurs peintes sur le cadran, la Lune et le Soleil se poursuivent ainsi dans un ballet continu qui évoque la rêverie amoureuse diurne et nocturne.
Typiquement féminines, ces complications caractéristiques du Calibre automatique Jaeger-LeCoultre 735 accompagnent parfaitement ce modèle Rendez-Vous de 38,2 mm de diamètre, qui habille le poignet de ses formes généreuses. Pour ces pièces, pas moins de trois métiers sont ainsi sollicités : le guillochage, la peinture sur nacre et le sertissage.
Le cadran est composé d'une nacre guillochée à la main sur toute sa surface, puis recouverte d'une couche de peinture légèrement teintée offrant des reflets gracieux. Pour la première fois, les artisans de la manufacture ont ensuite réalisé à la main une peinture miniature sur de la nacre. Le résultat est d'une grande subtilité, tous les détails apparaissant plus vrais que nature. Certaines parties de la peinture, comme les oiseaux, ont été recouvertes d'une couche de laque transparente pour offrir un effet de profondeur et jouer sur la matière. Fruit d'une inspiration artistique renouvelée à chaque coup de pinceau de l'artisan des métiers rares, chacun des cadrans abrite une œuvre d'art miniature, avec sa propre personnalité. Dans une même série de huit pièces, chaque cadran se révèle donc unique. Un travail d'artiste que l'on ne se lasse pas d'admirer.
La lunette est ornée de diamants taille brillant qui soulignent le travail poétique du cadran. Sur le rehaut, au-dessus des chiffres emblématiques de la collection Rendez-Vous, court une ligne de diamants, en écho à celle qui entoure délicatement la peinture centrale du cadran. Pour finir d'habiller ce véritable bijou horloger, le sertisseur a également logé des diamants sur chaque côté du boîtier.
Chaque tableau dépeint sur ces pièces est une création originale de Jaeger-LeCoultre. Première étape du parcours amoureux, la pièce Rendez-Vous Sonatina « Séduction » est ici incarnée par deux hirondelles évoluant au-dessus d'un champ de lavandes, sur fond d'un ciel nacré guilloché. Cette nacre arbore des teintes de bleu et de violet, comme le ciel entre chien et loup.
La Rendez-Vous Sonatina « Romance » arbore un martin-pêcheur posé sur une branche de cerisier en fleurs. Symbole de paix et de prospérité, le martin-pêcheur, au plumage bleu et orangé, semble oublier le temps qui passe. Le cerisier en fleurs est magnifiquement dépeint dans son dégradé de rose et de blanc. Une peinture d'un rose tendre sur la nacre guillochée rehausse encore l'intensité des couleurs des pétales.
Dernier modèle de ces séries limitées, la Rendez-Vous Sonatina « Amour » présente deux pies arborant un dégradé de verts, du turquoise au vert d'eau, qui volent dans la même direction, au-dessus de pivoines.
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